Comme presque à chaque fois q'une personne lui rendit visite, le chancelier était dans son bureau, traitant les dossiers. Il était très heureux que la Savoie accrédite une personne auprès de la Franche-Comté. C'était pour lui un gage de volonté de bonne relation. Il quitta ses affaires et sortit de son bureau. Il se dirigea rapidement vers la cour d'entrée où l'attentait l'émissaire. Il la salua d'une révérence.
Excellence. Soyez la bien venue au château de Cléron, chancellerie de Franche-Comté. Avez-vous fait bon voyage? Avant de vous inviter à rentrer et de rejoindre votre ambassade, je me plie à la coutume qui est de vous demander votre patente, Excellence.
Il sourit.